Oui je saiiis… je poste plus.

Bah vas-y toi, avec deux boulots, les cours, une vie à peu près sociale (mais peu en plus), un couple qui bat de l’aile (flap flap) (salut chéri, ça gaze ?) et un mémoire à prétendument pondre comme par magie…

Ca reviendra. Donc wait un peu.

En attendant :
anthologie de la misogynie

Ou pourquoi parfois être lesbienne peut traduire une décision politique. Quand tu lis ça notamment.

  

6 réponse(s) au billet

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gael said, novembre 7th, 2008 at 3:51

On bat de l’ail? C’est vrai que c’est mieux que les oignons, au moins ça fait pas pleurer. :huhu:

Karaz said, novembre 7th, 2008 at 3:55

Fais pas l’malin. Le “e” a été bouffé dans la lutte. :mrgreen:

SorG said, novembre 7th, 2008 at 4:21

Ainsi donc, c’était donc vrai !

Voir lien web…

foon said, novembre 7th, 2008 at 4:38

Il manque du monde dans cette anthologie:
Ronsard, Flaubert, Maupassant par exemple… :radote:
Bon, je sais, s’il fallait tous les citer, il y aurait de quoi saturer les serveurs d’hébergement de wikipedia :mrgreen:

Alain said, novembre 11th, 2008 at 10:39

Je ne vois pas en quoi la phrase de Mauriac sur la maternité est misogyne. Encore faut-il connaître la signification de la misogynie, et ne pas la modifier à des fins manipulatrices. Pourrai-je connaître votre sentiment là-dessus ? Par ailleurs, j’aime beaucoup la phrase de Rousseau d’après laquelle les femmes ne sont pas égales aux hommes, car nous subsisterions plutôt sans elles qu’elles sans nous. Merci pour cette découverte, Karaz :chinois:

Karaz said, novembre 11th, 2008 at 10:52

Réduire les femmes à leur capacité -ou non- d’enfanter est une forme d’aliénation. Les femmes ne sont pas que des mères. Parfois elles ne le sont même pas du tout. Et elles peuvent être totalement épanouies.
La phrase de Mauriac suggère implicitement que celles qui osent ne pas enfanter ne sont plus “valables” dans leur humanité.

Cette anthologie n’est pas de moi de toutes façons. Mais il me paraît manifeste que là où il y a essentialisme, il y a somme toute misogynie.

Mais je n’ai pas à convaincre.

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