Déc

Facebook, c’est la gloire facile.

par Karaz

8 réponse(s) au billet

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Tigrouf said, décembre 10th, 2008 at 10:35

Celle-là aussi j’aime beaucoup.

Sérieusement, je ne peux pas m’empêcher de penser à Reiser. (Gros dégueulasse dans le métro en train de disserter sur la crotte de nez comme le meilleur des vaccins contre la grippe)… et puis un petit côté Janine de temps en temps aussi.

Karaz said, décembre 10th, 2008 at 10:38

T’es bon public.
J’ai rarement été aussi peu inspirée…

Merci en tous cas.

Emma said, décembre 11th, 2008 at 2:26

raahhh je voulais te chopper sur facebook, mais je te trouve pas… et grâce à l’incapacité de whois.net, je sais juste ou t’habite mais ton nom de famille est illisible…

Karaz said, décembre 11th, 2008 at 3:22

@Emma
Ouais, chuis terriblement mystérieuse comme fille…
Mais j’ai mon glorieux fan club sur facebook si jamais. Les fans hystériques se battent pour avoir un morceau de mon tee-shirt. La pure folie.

jen said, décembre 12th, 2008 at 1:51

ouais, bon, on est sérieux nous les fans. on veut pas qu’un morceau! tiens, idée de marketing au cas où tu gagnerais de l’argent en excès… (enfin quoi, rêver fait pas de mal…. si?)
au cas où: ***fans de http://www.karaz.ch***
on s’agrandit peu à peu…

Alain said, décembre 12th, 2008 at 3:13

J’ai des amis qui me disent que Facebook c’est génial, et qui me demandent régulièrement de m’inscrire. Je constate que eux rencontrent de moins en moins de monde dans la vraie vie, et sortent de moins en moins. Sans être une généralité, ce genre de phénomènes qui existent bien, sont susceptibles de se développer avec l’accès toujours plus aisé au virtuel (Msn, Facebook, etc.). Rien pourtant ne remplace le contact direct, le regard, le sourire de quelqu’un, sa voix lors d’un verre ou d’un bon diner dans un endroit sympathique, non ?

Karaz said, décembre 12th, 2008 at 5:41

@Alain
Pourquoi l’un excluerait-il l’autre ? Franchement je ne vois aucune raison.

Personnellement je conçois facebook comme une sorte de complément relationnel. Il y a des phases où on n’a pas forcément le temps de voir les gens auxquels on tient et pouvoir entretenir la relation sous forme épistolaire offre d’autres perspectives.

On peut écrire et voir. Je ne vois vraiment pas d’opposition ou d’impossibilité profonde de concilier les deux.